Je viens de refermer le livre « La vie est facile, ne t’inquiète pas » d’Agnès Martin-Lugand, la suite de ce premier livre dont je vous avais parlé et que j’avais adoré.
Conclusion: je crois que j’aime encore plus la suite! Parfois soyons honnêtes envers nous même l’élément perturbateur de la simplicité de nos existences: c’est nous! (je ne parle pas de la maladie et des situations dramatiques qu’on ne choisit pas, il en va de soi!).
Combien de fois après réflexion j’aurais pu prendre des chemins bien plus simples, faire des choix plus confortables et moins exigeants mais paradoxalement je ne regrette rien. Je ne regrette rien car parfois ça a été douloureux voir même pénible mais j’ai tellement appris sur moi même et les autres que si j’avais mis trop de simplicité dans ma vie: de nombreux moments, souvenirs et sentiments ne se seraient jamais manifestés et n’auraient probablement jamais éclos. Néanmoins je suis une adepte aussi de la simplicité par période de vie car elle permet de se recentrer, de respirer pour donner une nouvelle direction à sa vie ou stabiliser les fondements.
Ce livre il résume parfaitement ce paradoxe: la vie est simple mais souvent on part dans toutes les directions, on revient au point de départ, on fait des grands bonds et on s’étonne soi même. A 32 ans j’arrive toujours à la même conclusion: on ne peut pas passer à côté de son destin, on ne peut pas résister longtemps à ce en quoi on inspire véritablement. Je me suis souvent racontée des histoires (comme vous tous je pense) en pensant sincèrement que je me trouvais au bon endroit avec les bonnes personnes et puis un jour votre château de cartes s’écroule car vous même n’avait pas joué au départ les bons numéros.
Alors ne vous inquiétez pas mes azimutés la vie est simple il faut juste jouer les bons numéros. Je crois que le 15 me portera chance.
Bon dimanche
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